Burtonmania
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MessageSujet: Sondage sur l'atelier d'écriture   Sondage sur l'atelier d'écriture EmptyMer 21 Juil - 14:43

Il est temps de commenter les copies de nos chers membres. Finalement, seulement trois textes m'ont été envoyés : ceux de Kim, Joker et Ichabod. Je n'ai moi même pas terminé le mien. Vous aurez donc à voter entre trois textes dont je ne vous révèlerai les auteurs qu'en fin de sondage.


NB pour les participants : évitez de voter pour votre propre texte s'il vous plait ^^


Dernière édition par Sweeney Todd le Mer 21 Juil - 15:10, édité 1 fois
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L'Ecrivain
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MessageSujet: Re: Sondage sur l'atelier d'écriture   Sondage sur l'atelier d'écriture EmptyMer 21 Juil - 14:45

TEXTE A ("Bien en main....bien en tête")


"Tic, tac, tic, tac".... C'est ainsi que raisonnait le bruit de la pendule dans la pièce. Cette dite pièce n'était pas vide, quelqu'un trônait dans un fauteuil à bascule, bourrant une pipe en bois de vieux tabac. Le grincement du bois de la maison était naturel, les petit grognement du chien qui dormait sur le tapis aussi... Tout était normale cette nuit. "Tic, tac, tic, tac". La pendule n'allait pas tarder de sonner lourdement, indiquant minuit. L'homme, assit lourdement dans sa chaise à bascule, se leva, prenant une allumette et la frottant d'un geste vif contre le côté de sa boîte. Jetant cette dernière derrière son épaule, il alluma sa pipe qui se mit à faire un nuage de fumé aussitôt. L'homme tira un bon coup dessus avant de la poser et de toussoter, faisant remonter sous son cou son gras en trop. Il passa une main dans ses cheveux qui n'étaient presque plus présent sur son crâne rond comme un œuf, et prit une grande inspiration sifflante en secouant la tête. L'homme tendit sa main vers une bouteille et prit un verre sale sur le bord de l'évier lui aussi crasseux. Le fond bouteille fut vidé dans le verre jusqu'à la dernière goutte et des lèvres baveuses vinrent aspirer le liquide avec avidité. Une fois le récipient vide, l'homme le posa lourdement sur la table en laissant sortir de sa gorge un rot grossier. Épongeant sa bouche à l'aide de son gros bras, la personne vivant dans cette maison se laissa à nouveau tomber dans sa chaise à bascule, qui émit un grincement, et saisit la télécommande afin d'allumer la télévision. Ses petit yeux de cochon regardaient l'image, comme hypnotisé. Comprenait-il au moins ce qu'il se passait à travers les images? Un corbeau vint se perché sur le rebord de la vitre de la cuisine crasseuse et frappa à la vitre. Aucune réaction ne vint de la part de l'homme avachis sur le canapé qui regardait les images défiler devant ses yeux. Trois coups furent soudainement frappés à la porte. L'homme tourna la tête avec lassitude, comme si ce simple mouvement quotidien lui demandait un effort inimaginable. Au bout de quelques minutes, deux hommes entrèrent en poussant un fauteuil roulant. L'une des deux personnes prit doucement le "gros" par la bras. Ce dernier se leva doucement et s'assit dans le fauteuil sans rien dire, se laissant pousser dehors jusque dans la voiture de police. Il pleuvait très fort dehors... Très très fort! N'avait-il pas déjà vu cette scène un jour? Il y a plusieurs années, alors qu'il était encore jeune...? On dirait... on dirait cette scène.
La pluie tombait à grosses gouttes sur la route. Cela faisait toute une journée qu'elle tombait ainsi sans s'arrêter. Peu de personne était dehors avec ce temps de chien! Seule une voiture de police roulait à travers ce déluge. À l'intérieur de cette dernière, un homme aux cheveux noirs conduisait avec prudence, se méfiant de l'homme qui respirait lentement sur le siège de la banquette arrière. Il était très fortement menotté, mais on ne savait jamais! Cet homme, avec des cheveux roux, tirant vers et blond, et ses yeux perfide... De quoi avait-il était accusé déjà? Meurtres divers. Un tueur en série dangereux. D'un coup de couteau, d'un coup de rasoir, d'un coup d'un seul, il tranchait les têtes, tailladait les veines sur le corps des victimes pour que le sang s'écoule plus vite du corps, léchait quelques fois ce liquide rouge, transportait ailleurs la victime morte et la jetait dans une benne à ordure prêt de chez lui. Pas très intelligent comme système. Les bennes à ordures sont de temps en temps vidés! Quel avait du être le dégout de celui qui devait vider cette dernière... La pluie qui battait au par-brise était sans cesse rejeté par les essuie-glace, mais elle revenait inlassablement, comme si elle voulait engloutir les deux personnes dans cette voiture. La route était de plus en plus dur à pratiqué... Ils allaient devoir s'arrêter quelque par s'ils ne voulaient pas avoir d'accident! Ils ne pourraient pas arriver au tribunal avant demain matin, si la pluie c'était calmé d'ici là!
-Merde! Il n'y a pas un endroit où s'arrêter dans cette fichu campagne?
Le policier commençait à être agacé par cette situation. Du une, il n'aimait pas l'idée de se retrouver coincé dans la même voiture qu'un tueur en série, de deux, il n'avait pas envie de passé une nuit blanche à surveillé le moindre mouvement au alentour et de trois, il voulait déjà être au tribunal et en finir au plus vite avec cette sale affaire. C'était toujours ce genre d'histoire qui lui tombait dessus, pas possible! Un chemin sortait subitement de la route, elle conduisait à une maison... Une auberge! Un sourire s'étira sur le visage du policier qui emprunta cette allé là. Il finit par garer la voiture dans la cour boueuse et posa le pied sur le sol. Il sortit son portable de la poche de sa veste et essaya d'appeler le tribunal.
-C'est pas vrais! Pas de réseau... Ca doit vraiment tombé sur ma pomme...
Le policier poussa la porte d'entrée de l'auberge pour y voir un homme, accoudé au comptoir qui attendait en dormant. Le main du policier se posa sur l'épaule de l'aubergiste qui sursauta en se frottant les yeux, à moitié endormit encore. Il regarda d'un air étrange l'habit du policier et il recula d'un pas avant de faire un grand sourire en tendant sa main.
-Bienvenue dans mon auberge, monsieur. Je suis Logan Steve. Vous désirez?
-Bonsoir M.Steve. Je suis l'agent Owen Syril. Comme vous le voyez c'est le déluge dehors et je ne peux pas me rendre au tribunal. Auriez-vous une chambre pour la nuit. Une chambre assez... sécurisé.
-Oui, toutes les chambres son libre à par celle de l'actrice, Mlle.H'o'malley. Mais... pourquoi donc sécurisé?
Owen se pencha sur le comptoir près de la tête de Logan en pointant de la tête la voiture de police garée dehors. Il pencha la tête sur le côté et l'aubergiste eut un mouvement de recule, plus stressé qu'apeuré. L'agent de policer haussa les épaule avec un sourire en coin.
-Vous avez deviné, M.Steve. Ne vous en faites pas, j'ai la situation bien en main. Je n'ai même pas besoin de repas, juste d'une chambre.
L'aubergiste hocha la tête et lui tendit une clé au hasard visiblement. Owen ne releva pas cela et salua Logan en sortant à nouveau sous la pluie. Il ouvrit la portière de la banquette arrière et saisit le tueur en série par un de ses bras menotté. Il entra de nouveau dans la petite maisonnette qui servait d'auberge et regarda le numéro inscrit sur la clé. Il monta une volé de marche et arriva devant un couloir où il n'y avait que deux portes. Son numéro y était bien. Le numéro 2. Tournant la clé dans la serrure d'une main et tenant le prisonnier de l'autre, il ouvrit la porte et poussa le tueur en série à l'intérieur. Owen lança les clés sur le lit aux couvertures vertes à fleurs brunes. C'était une décoration passablement moche, mais ce n'était que pour une nuit et tant que la chambre avait un lit et des toilettes, c'était suffisant. L'agent de police tira le tueur en série par le bras et détacha la menotte de l'une de ses main pour la fixer à l'un des tuyau qui descendait le long du mur de la chambre. En sifflotant, Owen redescendit les marches afin de payer l'aubergiste d'avance pour partir au plus tôt le lendemain matin, en espérant que la pluie ce soit arrêté de tomber. Arrivé devant Logan, l'agent de police lui tendit un billet.
-Gardez la monnaie. C'est pour le dédommagement... Parce que vous n'allez certainement pas dormir de la nuit tellement vous aurez peur que notre charmant prisonnier s'échappe. N'ayez crainte! Et dormez comme vous le faisiez plus tôt, sur vos deux oreilles.
Au même moment, quelques autres personnes entrèrent dans l'auberge. Une femme, son mari, et deux enfants. Owen les salua et posa un doigt sur ses lèvres pour faire signe à Logan de ne pas effrayé ses clients en leur disant qu'un tueur en série restait ici une longue nuit. L'agent de police allait remonter dans la chambre lorsqu'il lui revint à l'esprit qu'il n'avait pas de réseau avec son portable, lorsque les quelques autres clients eurent leur chambre, Owen se retourna vers Logan alors que le ciel grondait fort son mécontentement.
-Dites, vous n'auriez pas un téléphone?
-Oui, bien sûr.
Au même moment où Owen se dirigeait vers le téléphone et qu'il commençait à taper les premiers numéro un grand coup de tonnerre retentit et il fit soudainement très noir dans la pièce. On entendit le bruit du téléphone qui se raccrochait brusquement avec mécontentement et un grincement effroyable à l'étage. Comme lorsqu'on essaie de tordre quelque chose. L'agent de police leva un sourcil et Logan alluma plusieurs bougie en cherchant quelques lampes de poches. Une belle femme blonde descendit les marches des escalier, l'air courroucé. Elle tenait dans sa main un portable et pestait de rage contre le fait qu'il n'y avait pas de réseau. Elle ne prêta aucune attention au fait qu'un policier soit ici et qu'il n'y ai plus de courant. Elle sortit sous la pluie en essayant de téléphoner. Owen soupira en posant ses deux mains sur le comptoir et en regardant Logan se cogner la tête contre le haut de l'armoire où il avait fourré presque tout son corps pour dénicher deux lampes torches en se relevant. Il brandit ces dernières au dessus de sa tête et en tendit une à l'agent de police.
-Vous en aurez sans doute besoin pour surveiller votre tueur. Il faut que je vois ce qui a claqué à la cave.
Logan saisit un imperméable sur un porte manteau et sortit sous le déluge après s'être chaussé de bottes en caoutchouc. Owen soupira et s'adossa au comptoir en tournant la lampe de poche de sa main. Le même bruit que lorsque l'électricité avait coupé retentit à l'étage. Ce bruit... comme si on essayait de tordre quelque chose et que ce quelque chose avait cédé. L'agent de police monta les marches en allumant sa lampe torche et il poussa la porte de sa chambre. Il balaya la pièce avec le cercle de lumière . . . pour découvrir que le tueur en série n'était plus dans cette pièce.
-Et merde... merde, de merde!!
Owen s'approcha lentement du tuyau en plastique arraché. Pourquoi n'avait-il pas remarqué que ce tuyau était en plastique?! C'était une catastrophe! Un tueur en série en liberté maintenant... Avec des menottes arraché à une seule de ses main... Mais comment serait-il sortit de la pièce en si peu de temps? L'agent de police porta la main à son arme en restant aux aguets. Mais un souffle froid lui courut dans la nuque et il se retourna pour voir une des fenêtre ouverte. Il se pencha au dessus de cette dernière pour voir que la hauteur n'était pas très grande! Facilement un seul petit mètre. Owen sauta lui aussi sous la pluie, essayant de déterminé dans quelle direction cet enfoiré avait bien pu partir. Il tourna sur lui même et entendit plus loin un bruit fort étrange. Il haussa un sourcil et empoigna très fermement non seulement sa lampe torche mais aussi son pistolet. Il n'hésiterait pas à s'en servir. S'essuyant son front qui dégoulinait de sueur et d'eau de pluie, le policier poussa la porte d'où provenait ce bruit... Mais il n'y avait personne dans cette pièce, simplement des machines à laver. Une buanderie, en quelque sorte. Owen poussa un soupir et regarda la machine d'où sortait le bruit sourd. "Toc, toc, toc, toc, toc"... L'agent de police arrêta la machine et ouvrit la porte ronde de cette dernière. Le policier eut un haut-le-cœur et tomba sur les fesses. Il se releva tant bien que mal et sortit de la machine, par les cheveux, une tête de femme, blonde, au visage figé. Owen la lâche en passant une main sur son visage et en prenant l'objet qui se trouvait au fond de la machine. Une clé où était inscrit le numéro "1"... Des pas retentir lentement derrière lui et Owen n'eut que le temps de voir la lueur brillante d'une lame de couteau ainsi que des cheveux flamboyant et des petits yeux vicieux et, au bout de la lame, la clé de la chambre. La numéro "2".
Agenouillé sur le sol de la buanderie, Tyler léchait doucement la lame couverte de sang de son couteau. Ses yeux brillaient de cruauté et de plaisir. Il déposa sur le corps d'Owen la clé de sa chambre et il finit de nettoyer la lame de son couteau avec sa langue avant de fouiller dans les poches du policier pour en tirer une clé qui lui servit à enlevé ses menottes. Tyler eut un petit rire sarcastique et attacha ces menottes aux mains du policier et il l'attacha à la poignet de la porte de la buanderie. Tyler sortit également de la poche du policier, un boîte qu'il lui avait confisqué le jour de son arrestation. Une boîte contenant des petits cachets très bons. Le tueur en série se releva lentement et ferma la porte ou pendant par le poignet le misérable Owen. Tyler se retourna et son sourire se tordit en voyant un pistolet pointé sur le haut de son crâne. Logan, l'air complètement affolé, força Tyler à lâcher son arme et il le poussa jusqu'au hanguare où il l'attacha très fermement sur une chaise. Logan posa le revolver sur une table et un homme arriva derrière eux. Il portait une uniforme de police.
-Je me douté bien qu'il allait arrivé quelque chose avec cette pluie, alors j'ai voulut voit Owen. Mais j'ai été forcé de m'arrêter ici, et qu'est-ce que je découvre? La voiture de on collègue et j'apprends que le prisonnier qu'il devait amener au tribunal s'est échappé. T'as pas assez tuer, espèce de charogne?!
Le policier cracha sur le visage de Tyler qui ne broncha pas.
-Je vais allé identifier les corps et rassurez les autres. Vous, vous montez la garde.
L'ami d'Owen tourna les talons, laissant Logan seul en face du tueur en série. Celui ne disait pas un mot, il fixait le fond du hanguare d'un œil intéressé. Logan prit une batte de base-ball qui traînait parmi les sky et les chaussures de patins à glace, l'air menaçant, même si de son front tombaient de grosses gouttes de sueur. Tyler eut un petit rire moqueur.
-Toi aussi tu aimes ces cachets? Tu sais... j'étais une type bien. J'avais une petite femme, deux gosses et un métier sympathique. Tu sais ce que j'étais? Médecin... je sauvais la vie des gens, je ne les tuais pas. Pourtant, un jour, un ami à mon frère à laissé une boîte. Une charmante petite boîte... Je l'ai mit avec les médicament, pensant que les gosses les avaient sortit du placard. J'avais mal à la tête le soir... Je me suis trompé de boîte. Ah ah ah! Hé hé!! Tu sais ce que j'ai fiat? Hum hé! Je les ai saigné comme des porcs. Toute ma famille. La femme, égorgée, le fils, égorgé, la fille, égorgée! C'était si... délectable! Toi aussi... n'est-ce pas?
-Je... ne vois pas... je n-.. ne compre-end pas!
-Fais pas ton innocent... Toi aussi, n'est-ce pas? Sinon... qu'est-ce qu'il y aurait dans ces grands frigos, là-bas, hum?
La sueur perlait de plus en plus sur le front de Logan qui ne dit pas un mot... Pas un mot... La pluie continuait de tomber à grosses gouttes dehors. À très grosses gouttes. Et Logan tremblait de plus en plus fort. Une main ce posa sur son épaule et il sursauta, c'était le policier, l'ami d'Owen. Il pencha la tête sur le côté.
-Ca va, mon gars. Tes clients son rassu...
Le batte de base-ball vint se ficher en plein de le visage de Tyler. Logan, rouge, tremblant, les gouttes perlant sur son front, avait un air démentiel sur le visage. Il secouait négativement la tête avec force.
-Non! C'pas moi!! C'PAS MOI! J'ai rien fait!!
-Ah ah ah ah! Menteur... meeenteeeur! Ah ah ah ah! Hé hé! Meeenteeur!
La batte de base-ball se ficha encore une fois dans le visage de Tyler, encore une autre fois, et encore une autre fois jusqu'à ce que le visage de Tyler soit complètement déformé. Avachi sur sa chaise, le tueur ne bougeait plus d'un cil et Logan continuait à frapper dans le vide.
-C'pas moi... c'pas moi... j'ai rien fait... c'pas moi... Moi c'pas... rien fait... c'pas moi pas...
Le fauteuil roulant, poussait par deux policiers, fut conduit jusqu'à une petite salle de réunion où plusieurs médecin était là, donc le médecin en chef. Celui-ci, les deux mains posaient sur le bureau, retira ses lunettes en regardant le gros dans son fauteuil roulant.
-Et voici le cas le plus intéressant. Logan Steve. Il était un chauffeur de taxi. Il s'est mit à déraillé un jour et il a eut un accident. Lorsqu'il était à l'hôpital il écrivait des histoires de son passé complètement délirante. Il se voyait danseur étoile, chanteur d'opéra, et le plus fréquemment tueur en série dans un parfait décore de folie. Il croit se rappeler des choses totalement fausses. Aujourd'hui il reste sous surveillance dans une maison. Folie du aux cachés importé illégalement de plusieurs pays et fabriqué par des criminels. Ces cachets messieurs, sont des cachets qui rendent fous et peut pousser des personnes à tuer pour procurer du plaisir. À partir d'aujourd'hui, cet homme restera dans cet hôpital psychiatrique. N'oubliez pas, messieurs, tout est dans sa tête, mais n'oubliez pas de relever chaque jours les écrits de son "passé". Dormez sur vos deux oreilles et n'oubliez pas de vérifier votre numéro d'immeuble avant de rentrer chez vous... Bonsoir messieurs.
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MessageSujet: Re: Sondage sur l'atelier d'écriture   Sondage sur l'atelier d'écriture EmptyMer 21 Juil - 14:46

TEXTE B


Enfermé. Emmuré vivant, pourquoi ne pas dire les choses comme elles sont ? Car c’est ce que je suis, c’est ce qui m’arrive. Enfermé entre quatre murs, mes bras, qui me servaient tant autrefois, sont à présent aussi inutiles qu’une carte postale envoyée à un mort au combat. Liés dans une camisole, j’ai beau lutter, ils ne parviennent à s’échapper. Je suis calme. Pour l’instant. Mais je sais que ça ne durera pas. Le silence est trop fort, trop bruyant, trop oppressant. Je ne comprends pas. Pourquoi suis-je ici ? Les médecins m’ont jugés fou, schizophrène, qu’ils disent. Mais c’est faux, faux, faux. Je ne le suis pas du tout, les médecins qui traitent les malades psychologiques sont parfois bien plus malades qu’eux. Je sais pertinemment qu’ils attendent juste que je m’énerve pour me prouver que je suis capable de passer de calme à excité, de gentilhomme à paranoïaque, de bienveillant à agressif. De sain d’esprit à fou. Fou. Fou. Ce mot, ces insupportables trois lettres qui résonne dans ma tête, qui m’empoisonnent l’esprit, jusqu’à engourdir même mes membres. Je ne suis pas… FOU.
Soudain, mes yeux roulent. Roulent, tournant comme des tigres en cage, lentement, puis de plus en plus vite, jusqu’à arriver à ressembler à une poule à côté de laquelle on aurait fait exploser une bombe. Mon esprit s’embrouille, les lettres F, O et U se répercute contre les parois de mon crâne, créant une caisse de résonnance où le bruit est de plus en plus puissant, peut-être pour combler le trop gros silence extérieur. Déjà debout, ne mettant pas assis depuis qu’on m’avait jeté dans les bras, non pas de Morphée, mais de Satan, mes jambes s’affolent, dansant une danse étrange, mêlant désespoir, hystérie, nervosité, et surtout, surtout, folie. FOU, FOU, FOU. Mon cœur bat au rythme de l’étrange chant que mon crâne hurle. Comme des milliers d’amplificateurs, amplifiant des millions de tambours frappés par les pas d’un troupeau d’éléphants, des sons m’éclatent les tympans, en canon, et je hurle, je hurle, encore et encore, amplifiant encore le son, et maltraitant encore ma pauvre tête, comme dans un geste masochiste, mais inconscient.
Tout en poursuivant ma danse irréelle, je me projette contre les murs, continuant de hurler à ces horribles onomatopées de cesser, d’arrêter, et je me tape, et je me frappe, et je m’écrase contre les parois molletonnées. Quelqu’un, au secours. Nan, nan, je n’ai pas besoin d’aide. Mais si, ma tête explose, et… et mes doigts, mes doigts affreusement longs ! Mon corps qui s’allonge à la Alice au pays des Merveilles ! Et ma tête qui poursuit son chant si dingue, si fou. Nan, ce mot, encore, encore et encore lui, toujours le même cet assemblage. Aidez-moi, je vous en prie ! Sortez-moi d’ici ! Il m’est impossible de réfléchir, d’atteindre mon cerveau, qui s’est perdu parmi ce vacarme assourdissant. Tandis que je gratte tous les murs, tous les côtés de mon enclot, mes ongles saignent, s’arrachent un peu plus à chacun de mes coups de griffes déchainés sur la paroi choisi.
Puis plus rien. Soudainement. Le silence. Je m’apaise. Ou pas. Nan, nan, pas ce sileeeence ! C’est odieux, pire que les cris de tous les enfants de chœurs du monde entier ! Nan, nan, nan, arrêtez ça ! Parlez-moi dites quelque chose ! Je hurle, encore, m’époumonant, et m’irritant la gorge, approchant encore et toujours de l’extinction de voix, me jetant avec plus de force contre chaque élément de la colossale forteresse qui m’entoure, contre ceux qui m’empêche de me détendre. Folie, folie, folie, fou, fou, fou. Stop ! Stop, stop et stop ! Arrêtez ça, arrêtez une bonne fois pour toute cette torture. A peine ma voix se calme que le silence m’explose les tympans, et ma voix reprend. Je suis comme un chien, un batard qu’on envoie à la fourrière, qu’on arrache à ses maîtres, à sa joie, à sa vie, pour le trainer dans la boue en en riant, comme un enfant soldat à qui on arrache l’enfance, comme un simple homme trainé de force à l’armée.
Et encore plus soudainement que les deux précédentes étapes de ma folie, de mon irréelle descente aux enfers, ma voix me lâche, mes jambes, mes bras, toutes mes forces abandonne la bataille, ignorant mes ordres, me laissant seul, dans la clairière de la honte, le pré désert et effrayant de la solitude, de la… folie. Et je m’effondre, et je tombe, dans un oubli de moi-même qui m’étonne, moi, même moi, malgré mon cerveau qui poursuit sa folle galopée à travers tout mon corps couvert de spasmes, convulsions qui tente de donner un final à la hauteur de ma danse désespérée. Je hoquète, je vomis, je m’abandonne à tout ce qui, autrefois, m’aurait écœuré, m’aurait révulsé. Mais pas aujourd’hui. Ma tête bourdonne, me fait un mal de chien, mais peu importe. La seule chose à laquelle je peux encore penser, c’est le silence. Toujours aussi infernal.
Finalement, je m’arrête totalement. Je ne bouge plus du tout. Seul mon torse se soulève au fur et à mesure de mes respirations haletantes. Ma langue est sortie, et à la manière du chien que j’étais tout à l’heure, je respire fort, reprenant mon souffle. Une éternité passée, je me suis endormi. La porte s’ouvre sur une lumière forte, mais je ne sursaute même pas. Je suis totalement amorphe. Ils me prennent sans ménagement, mais mon corps paraît ne plus rien ressentir. Je me laisse faire, ne me disant même pas que l’odeur à l’extérieur était moins écœurante que celle qui régnait dans ma cellule après ma nausée. On me jette dans une nouvelle cellule. Aussi petite, mais avec des barreaux, et la lumière du jour qui filtre à travers ceux-ci. Je ris. Un rire hystérique. Puis je me tais.
Je me mets sur le dos, sur le sol. J’attends, les yeux écarquillés. Toute trace de sentiment m’a quitté. Toute trace d’humanité m’a déserté. Ma capacité de réflexion elle-même semble vouloir s’enfuir, et juste avant qu’elle franchisse la porte de sortie, je m’aperçois que, même si j’avais quelques problèmes psychologiques auparavant, ce qui reste possible, je n’étais pas fou comme ça. J’étais vivant, heureux. J’étais un être humain. Ils m’ont réduit à l’état de légume, ils m’ont rendus malheureux, ils m’ont confronté à la face de soi-même qu’aucun Homme ne devrait rencontrer. Ils m’ont arraché le cœur, ont fait bouillir mon cerveau, et m’ont ensuite torturés mentalement. Je ne suis plus qu’un pantin sans volonté, sans envie, sans objectif, démuni face à la fatalité. Un léger sourire se forme sur mon visage, et, à peine ma réflexion envolée, je sens simplement la vie qui lutte pour sortir du corps pourri où elle est, aussi enfermée que moi. Je ne la retiens pas, je lui montre même la porte, je lui ouvre celle-ci, et la salue une dernière fois, serrant doucement sa main, sans serrer, de peur de la blesser. J’enlace une dernière fois celle qui me quitte pour la première et dernière fois, qui m’a accompagné durant quelques décennies, et j’attends la forme noire qui s’est formée de l’autre côté, la fait entrer. Je pleure. Elle me prend dans ses bras, et j’ignore l’énorme faux qu’elle transporte, j’ignore le visage inconnu que je ne distingue pas sous le voile noir qui recouvre la créature. Puis, elle me soulève du sol, m’embarque.
J’ai juste le temps de fermer les yeux et de tenter un dernier sourire sous mes larmes salées, avant que mon cœur ne s’arrête. Un dernier hoquet, et c’est fini. Bien fini.
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MessageSujet: Re: Sondage sur l'atelier d'écriture   Sondage sur l'atelier d'écriture EmptyMer 21 Juil - 14:47

TEXTE C ("Un monde faussement fauséen")


Tournicote par ci, tournicote par là ! Et éclate-toi la gueule là-bas…Dansons dans les bois, pendant que Faussette n’y est pas, hihi ♥ ! Bonjour bonjour ! Danser est le meilleur moyen de se réveiller. Sauf que je suis toujours éveiller, alors c’est plus drôle à force…
Encore des fleurs. Des fleurs qui chantent. Je déteste ces fleurs, elles m’ont toujours méprisés pour ce que je suis…Une rose aux pétales crémeux chuchote à une tulipe, son désarroi. Bah oui, je ne viens jamais ici ! Normal, je trouve qu’elles chantent abominablement faux, et je crois que je suis la seule à penser ça ! Tant pis, hihi ♥ !
N’empêche que je n’apprécie pas leurs murmures. Ma voix s’éteint, mes yeux ambrés fusillent du regard les asperges. Voilà que ma journée se détériore, j’ai vraiment la poisse ! La colère monte, monte à chaque pas sur l’herbe, monte à chaque syllabe enfleurée. Grinçant des dents, augmentant l’allure, me voilà au bout du chemin ! Et de mes nerfs, entre autre…Hihi ♥ !
Oh mais que vois-je ! Un mulot habillé en clown endormi ?! Il faut le réveiller…A la manière faussement gentille, hihi ♥ ! On décide quoi, hum…Pendu par les pieds à un arbre au-dessus d’un ravin ? Hum, non. L’attraper par ma forme noire pour l’emmener loin dans le ciel et le lâcher avant de le récupérer à deux mètres du sol ? Si je rate mon coup, c’est fichu…Bah, ça fera un fou en moins, hihi ♥ ! Ou alors…Je fais tomber un arbre près de lui, un gros si possible ! Oh oui ! Oh oui ! Ce sont de trop bonnes idées ! Faisons-les toutes à la fois, il ne pourra plus se rendormir après ça…Hihi ♥ !
Tapotant dans mes mains, je m’avance en dansant de victoire, pensant qu’on ne me voyait pas vu que je faisais l’autruche…Ou la poule. Je ne préfère pas me rappeler, et si vous n’êtes pas contents, allez voir ailleurs ! Et toc, haha ! Bref, je n’avais pas remarqué la barbe à papa bleue à pois vert, ni ma prochaine victime. Donc, on va dire que je me faisais passer pour une grande tarée…Heureusement que je me suis arrêtée en faisant bien comprendre par un regard que les commentaires, faut s’abstenir ! Ah non, unh ?! J’en ai vu de toutes les couleurs depuis ce matin, tout le monde est taré et je n’ai rien à faire ici !
Reprenant mon visage bougon, aucun sourire, je croise les bras pour lancer à la barbe à papa toute ma rancœur :
-Pourquoi tu l’as réveillé ?! Je voulais me défouler ! Un petit arbre sur la tête, ça ne fait pas de mal…Ah oui c’est vrai, la « cravate » ! Je comprends mieux certaines choses. Mais, petit papon, ne crois-tu pas que ce collier est trop grand pour ta tête…molle ? Non pas que je dis que t’as texture pose problème mais…Si, je le dis, hihi ♥ !
Je commence quelques pas de danse en tournoyant avant de jeter des fleurs à tout va ! Je m’aime ! Tu m’aimes ! Il m’aime ! Et il y a un gros méchant M. Que vois-je ! Du rouge ? Du bleu ? Du vert ? Mais où suis-je ?! Oh la la ! Ne sortons pas du contexte, nous ne sommes pas encore à Noël mes chéris ! Alors, c’est quoi ça ? Hum, je n’aime pas les couleurs…Beurk ! En plus ça bave ! Et je n’aime pas la lettre M…Comme Miasme, Mimosa, Chou Bruxelles. Comment ça n’a aucun rapport ?! Et bah moi je dis que si ! Et toc ! Et pan ! Et t’es mort ! Faussette, manges plus vite que son ombre…Hihi ♥ !
-Bwaaahhh je vais te manger !
Quelle mauvaise haleine dit donc ! Alors, que faire…Je, tu, il, nous, vous, ils. Et me voici ! C’est facile, darling ! Je sors une fleur arc-en-ciel en forme de cœur de ma veste et la tend telle une épée face au monstrueux M…Tout baveux soit dis en passant.
-En garde, méchant monstre tout baveux ! Je te précipiterai dans la chantilly intergalactique comme tous tes confrères avant toi ! Prends garde à la magnifique, majestueuse, modeste, belle et intelligente…Comment ça j’en dis trop ?! Tu vas voir toi ! Je vais te…Aiëuh !
De son pied aux ongles bleutés je me fais écrabouiller…Ca pue ! Et ma tête est aplatie en plus ! Monstrueusement mochement M…Je vais te tuer en un clin d’oeilavec ma marguerite des mers ancestralement chantillement chanterestequement chantilly ! Ce n’est pas français, et alors ?! T’es pas contente ?! J’aime mieux ça…Hihi ♥ ! Et hop ! D’un petit saut, telle Supergirl, je me retrouve face à la gueule grande ouvert du M…Et je lance un i ! Oui ta faiblesse fatale méchant monstre ! Haha ! Et tu n’as pas tout vu ! Prends-toi un e ! Et aussi un y ! Et un u ! Et te voilà tout mourut…Hihi ♥ !
Je range mon épée enfleurée pour gonfler le torse. Vive Super Faussette ! Vive Super Faussette ! Et toutes les barbes à papa, tous les mulots à cravate et même les hommes en pain d’épice me prennent dans leurs bras et me jettent en l’air avec des cris de victoire. On m’aime ! On m’aime ! Je suis la plus belle ! Mouhahahahahaha ! Vive moi ! Non je ne suis pas narcissique…Et puis zut ! Hihi ♥ ! Et tournicote par ci, tournicote par là ! Et vlan prends-toi la porte en bois…
J’ouvre les yeux, grosse bosse sur le front, cheveux sales et pleins de ma sueur. J’observe l’environnement sombre m’entourant, ne comprenant guère où je suis, et enfin je me rappelle. La Russie. Le froid. La mort. Le travail. Un enfant près de moi tousse. Lui aussi va mourir dans peu de temps. Nous sommes tous esclaves, nous avons tous le dos courbé face à la souffrance, la misère et l’injustice. Et pour ne pas perdre la tête, on s’enferme dans nos rêves, dans notre silence mortuaire. La neige tombe sur le toit troué de notre chambre, petite pièce sale pleine d’immondices où nous nous entassons pour avoir chaud. Je comprends par le foin humide calé sous mon dos que mon voisin n’a pas pu se retenir de pisser lorsque la mort l’a attrapé. Il est sans vie. Des lèvres bleutés, des yeux écarquillés, des ongles rongés et des muscles contractés. Je soupire, me lève pour observer le ciel noir. Les méchants vont bientôt arrivés, mais où est mon arme enfleurée ! Je cherche entre mes compatriotes de l’enfer, se collant les uns aux autres, emmagasinant le peu de chaleur qui nous reste dans cet hiver dur et morne. Bon…Tant pis ! Moi aussi j’ai froid, et avec seulement un gilet troué, je ne vais pas passer la journée. Mon voisin frais…Non. Même très frais, possède des vêtements plus épais que je lui vole sans ménagement. Bah oui, la dure loi de la vie, hihi ♥ !
Les méchants arrivent. Que j’aimerai les envoyer dans la chantilly intergalactique ! Que j’aimerai revenir dans ce monde étrange où je suis l’héroïne. Un sourire carnassier aux lèvres, je marche sous les coups de crosse. Et je suis presque joyeuse dans cet enfer que je vis chaque jour. Oh oui ! Oh oui ! Ca serait drôle de les tuer ! Oh oui ! Oh oui ! Ca serait drôle de les dévorer ! Et en buvant ma maigre soupe, en creusant dans la mine de charbon, je n’ôte pas ce sourire fou de mes lèvres. Ca serait drôle ! Tellement drôle ! Hihi ♥ ! Et, lorsque je passe devant la glace fracturée des adultes, ce n’est pas le visage crasseux d’une orpheline que j’aperçois, mais bien celui aux joues rouges, aux yeux ambrés, au sourire tout aussi carnassier avec en plus, toutes ses dents. Elle m’invite dans son monde, cet autre moi…On se refait un petit tour ? Hihi ♥ !
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L'Ecrivain
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MessageSujet: Re: Sondage sur l'atelier d'écriture   Sondage sur l'atelier d'écriture EmptyLun 30 Aoû - 21:45

Le texte A était d'Ichabod Crane
Le texte B du Joker qui nous a quittés
Et le C, qui est aussi le texte du vainqueur, a été écrit par Kim Boggs : Félicitations!
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