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 Une petite fille qui as décidé de survivre

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MessageSujet: Une petite fille qui as décidé de survivre   Une petite fille qui as décidé de survivre EmptyMar 19 Avr - 16:40

Bonjour, à toi.
Alors, voilà moi j'aimerais devenir écrivain. [Juste à penser à me payer un correcteur *sort* ]
En ce moment, je fait une histoire mon histoire comme je les vécu. Il n'est pas fini mais au fur à mesure que je taperais la suite j'éditerais mon poste. Voilà j'ai penser que sa vous intéresserais, par contre ne faite pas attention au faute j'en fait plein je sais. Il faut que je me fasse corriger mon histoire si je veux le publier, mais avant j'attends de finir le livre.
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MessageSujet: Re: Une petite fille qui as décidé de survivre   Une petite fille qui as décidé de survivre EmptyMar 19 Avr - 16:46

Dans la dure vie, on ne peut rien promettre de sur. Les médecins ne peuvent pas promettre qu'ils vont sauver des vies. Car rien peut être sur à 100 %. Mais ils peuvent donner tout ce qu'ils ont pour essayer de les sauvaient. Et à certaine maladie que les enfants peut avoir, les médecins peuvent rien faire malheureusement. Cependant, l'histoire qui va suivre va prouver que les miracles sont réels. Et qu'avec les médecins la volonté et le soutient on peut faire beaucoup de choses.

Quel plus grand bonheur qu'avoir un enfant? Aucun aller vous me dire. Le bonheur est sans fin de mettre un enfant au monde. De le tenir dans ses bras. C'est-ce bonheur qu'un jeune couple pu goûter. À vrais dire, c'était leur 3ème enfants. Le bonheur était à son comble. Une maman de 30 ans avais sa petite source de vie dans ses bras. Le papa était à leur côté le sourire aux lèvres. Leurs filles étaient aussi là pour voir leur petite sœur. Tout ne pouvais qu'aller pour le mieux de cette petite famille. Lors un jour alors que la maman du nom de Juliette donner le biberon à Anastasia sa fille chérie. Elle vu, qu'elle devenait bleu au visage. Elle fonça les sourcils, elle était en train de s'étouffait se demanda-t-elle. Mais ce qu'il était bizarre c'est que s'était quand elle prenait le biberon. Elle alla signalé aux infirmières.

« Ma fille devient bleu quand je lui donne son biberon. »

Mais les infirmières ne prêta pas attention. Elles prétendent que c'était rien de grave. La mère fit confiance aux infirmières et laissa. Mais lors de la sortie de Juliette et sa fille, une infirmière remarqua également que la petite Anastasia devenais bleu quand elle prenait le biberon. Elle ne trouvait pas ça normal. Et pour s'en assurais, elle envoya la maman et la fille dans un hôpital « L'hôpital de l'espoir. » un grand hôpital à six étages, ou d'ailleurs le 6ème était spécialisé pour les enfants malade du cœur. Le temps que les infirmières prépare les papiers etc. Juliette téléphona à son mari Arthur qui était au travail pour lui annoncer la nouvelle.

« Allo? Chéri, sa va? »
« Oui Allo? Oui très bien ma puce est toi? »
« Pas très bien, je t'appelle justement, pour te dire que je vais à l'hôpital de l'espoir, avec Anastasia.»
« Ah bon? Qu'est-ce que tu as? Et pourquoi tu vas à l'hôpital de l'espoir? Tu devais rentrer aujourd'hui..»
« Parce qu'ont à découverts qu'Anastasia s'essoufflait quand elle prend son biberon. Ça se pourrait bien être à cause de son coeur. Pourtant, je l'avais signalé mais il n'avait pas prêté attention.»
« Il exagère ! Il aurait dû prendre ça au sérieux!»
« Ben oui, je comprend bien mais que veux-tu? Bon je te laisse mon amour. L'ambulance va arriver, tu nous rejoins là-bas?»
« Oui, oui je vais débaucher j'arrive toute suite après. Un ami m'amènera.»
« D'accord à tout à l'heure chéri je t'aime.»
« Moi aussi je t'aime. À tout à l'heure.»

Après ce coup de fil à son mari, Juliette partie dans l'ambulance avec sa fille en direction de l'hôpital de l'espoir. Une fois arrivé, Juliette, Anastasia dans les bras de sa maman. Et l'ambulancière, partie à l'accueil pour faire l'entrer. Une fois terminé, les trois jeunes gens partie en direction des ascenseurs. L'ambulancière appuya sur le bouton pour l'appeler. Puis ils entraient, l'ambulancière se tourna vers les boutons de l'ascenseur et appuya sur le bouton six. Le 6ème étage. La maman marcha dans les couloirs du service. Elle arriva devant le bureau des infirmières. L'ambulancière quand t-à elle, se tourna va la jeune maman pour lui dire:

« Bien, moi je vous laisse là. Bon courage..»

Avant de faire un signe de main et de partir. Juliette donna le papier de l'entrer à une infirmière. Cette dernière lui pris et l'invita à attendre dans la salle d'attente. Juliette hocha la tête, avant d'entrer dans la salle. Elle posa ses bagages dans un coin, et alla s'asseoir sur une chaise son enfant dans ses bras. Là elle à du attendre une heure sans qu'on l'appelle. Puis au bout une demi-heures, une infirmière arriva:

« Madame Juliette?»

« Oui?» Dit- la mère en ce levant doucement, et marchant vers l'infirmière son enfant dans ses bras. L'infirmière l'invita à entrer dans le bureau. Une fois fait, elle entra à son tour avant de fermer la porte derrière elle.
« Assaillez-vous. » Dit l'infirmière en fessent le tour de son bureau et de s'asseoir sur sa chaise.

Juliette s'assit doucement regardant quelque instant sa fille qui dormait dans ses bras. L'infirmière regarda la fiche d'entrer, puis elle regarda la jeune maman. Elle commença à lui poser certaines questions à propos de son enfant. Si elle était allergiques à certaines choses. Si elle était seulement bleu quand elle prenait le biberon ou autre. Juliette répondis aux questions très sérieusement. Tout ce qu'elle voulait c'était savoir ce qu'avais son enfant. Qu'on la soigne, pour qu'elle puisse rentrer chez elle avec sa fille. L'infirmière se leva après toutes ses questions, et invita la maman et l'enfant de passer de l'autre côté. Pour quelque examens. Puis elle conduit la mère et l'enfant dans une salle. Elle invita à s'asseoir et entra dans la pièce à côté. Après quelques minutes, l'infirmière sortie et demanda à Juliette de rentrer avec son bébé.

Quand elle entra l'infirmière ferma la porte. Là un homme avec une blouse blanche, était assis sur une chaise. Devant un bureau, ou des feuilles était posé dessus. Après quelques secondes, il se tourna et demanda de poser l'enfant sur un lit qui avais. À côté une machine. Cette machine servais en fait à voir le cœur ou les os des gens. Une échographie, comme les médecins disent. Juliette posa donc sa fille sur le lit. Cette dernière se réveilla, elle regarda sa maman puis autour d'elle. Le médecin arrive et s'assit à côté de l'enfant. Il demanda à la maman de la déshabiller, alors que lui alluma sa machine. La mère l'écoute, elle pose les vêtements de sa fille sur la commode. Alors que le médecin commença à faire l'examen. Après quelques minutes, il essuya la petite fille et invita à sa maman de la rhabiller.

« Bien, je vais donner ceci au docteur Mr. Hideaki Hiroshi.»

La mère écouta le médecin tout en prenant sa fille dans ses bras. Le médecin à ces mots partie de la pièce, alors que l'infirmière s'avança vers la maman.

« Je vais vous reconduire à la salle d'attente, je viendrais vous chercher quand Mr. Hiroshi sera près à vous recevoir.»

« Très bien..» Dit la mère en suivant l'infirmière jusqu'à la salle d'attente. Là, Juliette pris place à une chaise. Elle regarder quelques enfants malade.. Opérais, ou autre s'amuser, dans la salle.

Pendant que les parents restaient assis sur des chaises. Puis on entendit un grand bruis, qui prévient des grandes portes électronique du service. Là un homme entra. C'était un homme qui venait à peine de débaucher il travaillait en maçonnerie ça se voyait. Il s'arrêta et regarda les parents qui avaient. Quand il vue Juliette il s'approcha d'elle. Juliette se leva, l'homme embrassa tendrement sa femme. Il la regarda avec douceur puis caressa à l'aide de son index la joue de sa fille.

« Alors qu'est-ce-qu’il on dit les médecins? Qu'est-ce-qu’elle as notre fille? »
« Je ne sais pas il l’on fait des examen là on attend qu’un docteur vient nous voir et nous dire.. Ta passé une bonne journée? Et Viviane et Sabine c’est ma mère qui les récupères à l’école? »
« Oui, oui t’en fait pas.. »

Arthur le mari de Juliette pris place à côté de sa femme, et engagea la conversation. Vers tard le soir, alors que le jeune couple discuter un homme en blouse blanche s’avançais vers eux. Il avais l’air imposant, et impressionnant. Il avais un badge sur sa blouse. Il avais écris « Professeur Hideaki Hiroshi. » Il était le chef du service. Et plus que ça encore. Le jeune couple se leva avant de prendre la main du professeur qui lui tender pour lui serrais. Après cela, le couple s’assit à nouveau. Alors, que Mr. Hiroshi pris une chaise à enfant pour s’asseoir.

« Bien après quelque examen nous avons enfin compris se que votre fille as.. Enfin votre fille à une déformation cardiaque.. »

Hideaki Hiroshi, continua d’expliqué en fessent un dessin. Oui les docteurs peut avoir un langage pas très clair pour les parents. Mais en gros il explique que leur fille n’a pas un cœur bien former comme les autres. Le cœur humain à deux oreillettes et deux ventricules. Et leur fille avais deux oreillettes et un ventricule mal former qui prend la place pour deux. Elle a également la malposition des gros vaisseaux. Sténose sous-valvulaire pulmonaire modérée. Elle a aussi le situs solitus atrial. Et pour finir une absence de connexion atrio-ventriculaire. Les parents essaya de suivre, quelque chose de ne pas facile. C’est pour cela, qu’ils n'hésité pas as leur poser des questions. Pour comprendre mieux se que leur fille avais exactement. Puis quand le professeur termina il se leva suivie du jeune coule. Le professeur s’exclama d’une voix professionnel:

« Cependant, votre fille à une malade grave. Elle peut mourir demain, comme une semaine ..

.. Quelque moins quelque année. Et les opérations ne seront que palliative. Mais nous allons faire tout notre possible pour la sauver. Par contre, nous devons garder votre fille pendant quelque temps. »

La mère se mis toute suite à pleurer, elle regarda son enfant, elle ne voulais pas qu’elle mort. S’était son bébé, elle l’avais mis au monde il as quelque jour. Et elle devais déjà quitté se monde? Non, elle ne voulais pas. L’infirmière arriva ensuite elle pris le bébé des bras de la maman en lui disent:

« Nous devons mettre votre enfant sous gavage, une machine qui va la nourrir car elle s’ essouffle quand elle prend le biberon. »

La mère ne voulais pas trop lâcher son enfant, s’était une vrais déchirure de voir cette infirmière prendre sa source de vie. Mais elle fini par la lâcher et la confier à l’infirmière avant de se blottir dans les bras de son marie en sanglot. L’infirmière partie ensuite au soin intensif avec l’enfant dans ses bras. Elle l’installa sur un lit, et commença à lui mettre un tuyau dans le nez qui glissa jusqu’à l’estomac pour la nourrir. Elle du appeler une autre infirmière pour l’aider car le bébé ne fessais que bouger et pleurer. Quand elle termina elle mis une cloche en plastique qui couvra tout le bébé. Pour la permettre à mieux respirais. Alors que la mère elle, était en sanglot. Et elle ne voulais pas laisser son bébé dans l’hôpital. Elle fini par dire:

« Pour que ma fille mort à l’hôpital je préfère qu’elle mort à la maison! »
« Mais votre fille à une grave et sévère maladie.. Il serais préférable de la laisser quelque temps avec nous. » Dit- le professeur.
« Je veut qu’on me rende mon bébé.. »
« Si vous voulais reprendre votre fille, vous devais signer une décharge. Mais je vous laisse quelque temps pour y réfléchir. Réfléchissez bien, je reviendrais plus tard. »

Le professeur partie et laissa le couple réfléchir. Arthur partie demander aux infermières si il pouvais voir sa fille. Elle répondis oui, qu’ils la suive.

« Mon amour.. Vient on va voir Anastasia. »

Dit Arthur en prennent sa femme dans ses bras. Alors que Juliette pleurer toujours. Il partie au soin intensif, il se mis une blouses bleu pour évité
les microbes. Ils partie tout deux, voir leur fille, il eu un choc de la voir brancher comme sa et avec une cloche en plastique. Arthur glissa sa main dans le trou de la cloche pour aller caresser la joue de sa fille avec son index. Puis il vue sa fille tourner ver lui, et fermer ses petits poings.

Un signe! De quoi elle aller se battre pour survivre. Après quelque minute, le couple sortie ils s’enleva la blouse et la met au salle. Puis ils alla dans le couloir. Arthur posa ses deux mains sur les épaules de son épouses. Il dit d’une voix rassurante et tendre:

« Notre fille est d’une battante ! Est elle va s’en sortir, et confiance en moi , en elle est aux médecins. Soie raisonnable, laissons là. Il as une petite chance de survie ne gâchons pas. »
« Oui tu as raison mon cœur, nous allons la laisser là.. » Dit la mère tristement, en versent toujours des larmes. Mr. Hideaki Hiroshi arriva après quelque minute, il se mis devant eux et leur demanda:

« Avais vous réfléchie? »
« Oui » Exclama Arthur. « Nous décidons de la laisser ici. »
« Sache décision, c’est le mieux que vous pouvez faire pour elle. »

Arthur et Juliette partie ensuite ver l’ascenseur une boulle dans l’estomac. Il partais se soir sans leur enfant. Ils appelèrent un ami pour qu’il vienne les chercher pour rentrais à la maison. Dans la voiture, Juliette et Arthur ne penser qu’a leur enfant laisser à l’hôpital. S’était très dur pour Juliette, elle l’avais mis au monde, et on l’enlevais déjà son enfant. Anastasia ne pu donc pas rentrais à sa maison, elle est passé directement de la maternité à l’hôpital de l’espoir. Une fois à la maison, Viviane et Sabine, était dans leur chambre elles fessais les devoirs. Juliette elle n’aller toujours pas bien, elle était en crise. Elle était toujours en sanglot. Elle crier sans arrêt:

« MON BEBE ! ! ! RENDEZ MOI MON BEBE ! »

Arthur inquiet appela le médecin de garde pour qu’il vienne voir sa femme. Le médecin arriver chez eu déclara:

« Votre femme et en crise, je vais lui faire une piqûre pour la clamé. »

Arthur fie signe de tête, il espérais échappé à la piqûre, mais quand le médecin termina. Il pris une autre seringue et commença à préparais une autre piqûre.

« Une autre? » Interrogea Arthur.
« Oui, pour vous ! Car vous aussi vous n’aller pas bien. »

Le médecin fit la piqûre à Arthur, avant de partir. Les jours qui suive fut les suivants, Arthur aller travailler. Les sœurs était à l’école puis garder par la maman de Juliette. Tendis que Juliette partais les jours au chevet de sa fille Anastasia tout les jours. Le père aller tout de même la voir quand il pouvais. C’est-à-dire, le samedi. Car oui il n’avais pas le permis. Il n’avais pas le choix de se faire amener par un ami. Puis un jour, alors qu’Arthur était là prés de sa fille. Il la voyer toujours brancher. Quand un interne arriva pour voir si Anya aller bien. Arthur demanda:

« Et elle va rester brancher longtemps? »
« Non fin de semaine nous la débranchons. »
« D’accord. »

Arthur rentra ensuite chez lui, avec sa femme. Puis la fin de semaine arriva à nouveau. Vendredi, demain Arthur pourra voir à nouveau sa fille, qui était toujours au soin intensif. Il ne pouvais pas la voir souvent, et s’était douloureux pour lui. Et bien sur pour sa femme. Ils aimeraient que leur fille soie chez eux. Bref vendredi soir, Arthur appela l’hôpital de l’espoir. Pour savoir si Anya était débrancher comme ils avaient dit:

« Non, pas encore. » Dit une infirmière. Arthur se mis alors à s’énerver. Sans doute la pression le fait aussi que sa fait presque un mois que leur fille était à l’hôpital. Et qu’il ne voyer pas d’améliorations. Et là peur que leur fille les quittes dans quelques jours ou quelques mois.

« Quoi ! Mais c’est quoi ce cirque! On ma dit qu’elle serais débrancher fin de semaine. »
« Oui mais écoutez Monsieur. »
« Non ! Je vous prévient samedi je vient ! Si elle n’est pas débrancher c’est moi qui le ferais c’est clair! » Dit-il d’une voix grave et le ton monter. Pour montrais qu’il était bien énerver.

Il raccrocha au nez énerver. Et alla discuter avec sa femme de cela. Puis samedi arriva.. Arthur et Juliette partie à l’hôpital de l’espoir, pour voir Anastasia. Alors que Sabine est Viviane était chez leur grand-mère pour être garder. Quand ils arrivent au soin attensif. Arthur pu voir avec satisfaction que leur fille était débrancher.. Cependant Mr. Hiroshi lui était au courant de ce petit conflit avec son infirmière est n’était pas content du comportement qu’Arthur avais eu. Ah la fin de la journée, les parents rentra chez eux à l’aide d’une amie ambulancière qui accepter, de les ramenais. Est les jours se suive.

Les parents d’Anastasia ne lâcha jamais. Ils la soutenais jusqu’au bout leur petit bout de choux. Chaque jour Juliette était au chevet de sa fille. Tant dis qu’Arthur lui fessais son maximum. Il travailler, s’occuper de leur deux autres filles. Et venez voir sa fille à l’hôpital le samedi.. Un moins était passé, la petite Anastasia était toujours à l’hôpital. Mais aujourd’hui alors que Juliette partie voir sa fille.

Un médecin vient la voir pour lui dire que Mr. Hideaki était passé est qu’il avais prévu la sortie de sa fille pour aujourd’hui. Qu’elle aura un traitement. Mais si ça n’aller pas, il fallait toute suite la ramener à l’hôpital pour qu’on la soigne. La mère ne fut qu’être très contente, elle était si heureuse de pouvoir ramener son enfant chez elle. Enfin, c’est vrais la cher petite Anastasia était partie de la maternité à l’hôpital de l’espoir. Elle ne savais même pas ce que s’était son chez soie. Mais aujourd’hui elle pourra enfin découvrir sa maison. Juliette en profita pour appeler de la cabine de l’hôpital son marie.

« Arthur? C’est Juliette. »
« Oui? Que ce passe t-il? Anya à encore des problèmes? »
« Non, non le contraire elle va bien. Elle sort aujourd’hui. »
« Ah ! Mais c’est génial ça! Je suis très content, ce soir alors elle sera à la maison? »
« Oui mon amour. »
« Ah ce n’est pas trop tôt sa commencer à faire long. »
« Oui.. Bon chéri je vais te laisser travailler. »
« Oui d’accord à ce soir je t’aime. »
« Moi aussi. »


Sur ses mots, la jeune maman laissa son marie. Les yeux remplie d’espoirs et de joie. Enfin elle pourra serrais son enfant contre elle. Elle pourra lui donner son biberon et l’habiller. L’entendre pleurer le soir car elle veut qu’on la change la couche. S’était très dur pour les parents d’avoirs une fille, et ne pas pouvoir la chérir de tout son être. Puis la fin de journée arriva, Anastasia pu sortir de sa couveuse, et mis dans les bras de sa mère. La joie était sans fin pour cette maman. Elle avais retrouver son enfant. S’était comme si on lui avais pris son enfant et qu’on voulais plus lui rendre. Qu’elle devais vivre un moins sans elle. Avec des droits de visites très strict. La maman larme au yeux, et le sourire qui monter jusqu’au oreille. Regarda son enfant, elle lui caressa très lentement avec délicatesse sa petite tête. Avant de la couvrir de tendre bisous.

Puis une infirmière vient prés d’eux, elle dit à Juliette que Mr. Hiroshi voulais la voir pour la sortie. La jeune mère suis donc, l’infirmière puis entra dans le bureau du professeur. Ce dernier lui serra la main avant de l’invité de s’assoir en face d’elle.

« Bien, votre fille va pouvoir rentrais à la maison. Cependant, elle va prendre un traitement. Puis nous allons attendre qu’elle grandie un peu pour pouvoir l’opérais. Mais cela nous verront plus tard. Par contre très important… »

Juliette écouta le professeur attentivement. À vrais dire, elle était pressé de rentrais chez elle avec Anastasia. Mais il était aussi très important d’écouter se qu’il avais à dire. Surtout que leur fille n’était pas encore sortie d’affaire. Bien au contraire, les médecins ne lui donner pas beaucoup de temps à vivre. Mais les médecins ainsi que les parents d’Anastasia était bien décidé de tout faire pour essayer de la sauver. Et Anya aussi n’avais pas l’air d’avoir dit son dernier mot.

« Si votre fille as n’importe quel malaise ou signe signifiant que son état c’est aggraver. Elle devrais impérativement venir ici pour qu’on puise la soigner de toute urgence. »

Oui, s’était évident. Pensa Juliette. Loin l’idée que Juliette aller regarder sa fille s’empirais sans rien faire. Après quelque conseille et explication pour le traitements qu’elle aller avoir. Ainsi que les signes qu’elle pourrais avoir à la maison si Anastasia avais l’état qui s’aggraver. Le professeur suivie de Juliette se leva. Puis se serra la main.

« Une ambulance à était appeler, pour vous ramener à la maison. Bon retour et bon courage. »

Juliette hocha légèrement là tête. Puis remercia le professeur avant de quitter le bureau avec sa fille dans les bras. Elle pris son sac, puis se dirigea ver les ascenseurs. Elle appuya sur le bouton est attendis que un arrive. Elle baissa la tête pour regarder sa fille. Juliette caressa alors avec tendresse la main de sa fille. Cette dernier lui attrapa le doigt maladroitement et lui serra très doucement. Les lèvres de Juliette s’étira lentement pour faire un sourire attendris. Une sonnerie retendis dans l’air, puis les portes d’un ascenseurs s’ouvris. Juliette le regarda puis avança vers se dernier en prenant son sac d’une main. Elle posa son sac quand elle fut entrais dans l’ascenseurs puis appuya sur le bouton « 0 ». Les portes de l’ascenseurs se ferma ensuite, et la machine commença à descendre. Juliette regarda ensuite sa fille, elle lui sourit tendrement avant de lui dire d’une voix calme et tendre:

« Tu rentre à ta maison ma chérie.. »

Juliette sortie de l’ascenseur quand ce dernier arriva, sans oublier bien sûr son sac. La jeune femme attendis alors l’ambulancière. A peine dix minute plus tard, la voiture qui aller les ramenais à la maison, arriva. Juliette fit un grand sourire, enfin elle aller quitté cette hôpital. Et pouvoir faire une vie normal avec sa fille Anastasia.

« Sa y est? Vous rentrais toute les deux chez vous? » Demanda l’ambulancière.

« Oui, il était tans.. » Exclama Juliette toute heureuse. L’ambulancière hocha légèrement la tête. Avant de prendre le sac de la jeune maman, pour le mettre dans le coffre. Elle pris également un siège bébé qui était dedans. Elle ouvris la porte du coté passager à l’arrière. Elle installa le siège bébé. Puis invita Juliette à mettre sa petite source de vie à l’installer dedans. Une fois fait, elle ouvris la porte coté passager à coté du conducteur. Puis elle partit vers son siège, pour y monté s’attacher et mettre le contacte. Juliette monta également à son siège et s’attacha. Elle soupira de joie. Alors que la voiture commença à rouler en direction de la maison de Juliette. La jeune maman, d’Anastasia discuta alors de l’enfers qu’elle avais vécu pendant se moins. Tout en regardant le bâtiment de l’hôpital s’éloigner.

Même si elle s’avais que s’était très dur pour Juliette, elle savais que s’était pour le bien de sa fille. Que sans cela la jeune Anya n’aurais sûrement pas survécu. Cependant elle se douté pas qu’elle aller retourner à l’hôpital de l’espoir plus vite qu’elle aurais penser. Mais pour l’heure, la joie était à son comble. Elle avais l’impression que s’était aujourd’hui qu’elle avais mis au monde Anastasia. Alors que de temps en temps Juliette tourna sa tête pour regarder Anastasia qui dormais au siège bébé à l’arrière. Juliette pu sourire tendrement. Elle était si jolie, quand elle dormais. Puis l’ambulancière arriva enfin chez Juliette. Enfin pour Juliette, Arthur, les deux sœurs d’Anya. Et Anastasia va pouvoir enfin avoir une vie normal. Juliette signa les papiers que l’ambulance lui donna, puis elle sortie de la voiture. Elle pris sa fille dans ses bras. Alors que l’ambulancière pris son sac. Elle entra dans la maison, l’ambulancière posa le sac devant le couloir de la maison.

« Merci pour tous, et au revoir. » Dit-Juliette en souriant, contente d’être rentrais à la maison.
« Au revoir. » Exclama, l’ambulancière, avant de partir vers sa voiture pour continuer son travail. Juliette quand as elle, s’occupa de sa fille, de lui donner son biberon avant de la coucher. Puis elle s’occupa de défaire son sac. En espérant, qu’elle ira le plus tard possible. Le soir venu, Arthur son mari entra du travaille. Ravie, il était content que sa femme et sa fille rentre enfin à la main. Malgré qu’elle avais des médicaments, il était content qu’Anastasia soie prés de lui. Il dépassa l’entrais de sa maison, il alla embrasser tendrement sa tendre épouse. Avant d’aller enlacer avec douceur sa fille Anastasia.

Le sourire au lèvres il observa avec tendresse sa petite fille chérie. Alors, que Viviane âgé de 9 ans ainsi que Sabine âgé de 6 ans. Regarda leur petite sœur dans les bras de son papa. Puis la vie poursuivie son cour. Les jours se suivie. Juliette qui croyais ne pas retourner à l’hôpital de l’espoir savais tromper. En effet, après à peine quinze jours ou il était rentrais. Anastasia eu quelques complication, qui du l’amener à l’hôpital pour la soigner. Les complications d’Anastasia sont les suivantes: diysnee, perte de poids, infection avec pneumographie [Infection des poumons] , œdèmes, accélération du rythme cardiaque. A chaque fois, Anya devais aller à l’hôpital quand elle fessais une complication. Elle devais passé un moins à l’hôpital pour que tout redevient dans l’ordre.

A chaque fois, Juliette accompagner sa fille sans relâche. Elle était prés d’elle tout le temps.

Elle rester là pendant des jours et des jours prés de sa fille, à mangé des sandwichs. Puis dans le moins quand Anya sortie des petits soin. Juliette avais le droit à une chambre pour rester prés de sa fille. Là elle rester jusqu’à la guérissions complète de sa fille. Dans cette chambre. Tout les soirs elle avais le droit à un repas qu’une infirmière l’amener. Ainsi qu’un tendre appel de son mari. Sa voix la rassurais, l’encourager à aller encore plus loin pour sa fille. Il lui disais de ne pas abandonner. Que sa fille avais besoin d’elle. Juliette était d’accord, et de toute manière ne compté pas lâcher. Sa fille était comme la prunelle de ses yeux. Et rien au monde, l’empêchera de rester prés d’elle et de la soutenir comme il faux. Dans ces moments si dur pour un bébé.

Après un moins, Anya revient à la maison. Mais elle ne resta pas longtemps, encore quinze jours après. Elle repartie à l’hôpital pour une des complications. Et encore un moins à l’hôpital, est le combats des parents et d’Anya repris de plus belle. Tout ça se répéta jusqu’à Anastasia fie ces 4 ans. À ce moment là, le professeur Hideaki pu envisager une opération à cœur ouvert pour la jeune enfant. Un grand combat aller alors s’engager pour toute la famille. Mais Arthur et Juliette savais que c’est nécessaire pour le bien de leur fille. Il fallait également penser que le seul petit espoir, qui avais pour sauver Anya. Était bien celle de l’opérais.

Deux jour avant la date de l’opération, Juliette rentra avec Anya à l’hôpital de l’espoir. Ils fit l’entra et fut installer dans une chambre. Juliette passa la nuit avec sa fille, et tout le lendemain elle était là avec qu’elle. Le soir venue, quand le lendemain matin Anya aller être amener au bloc. Pour subir cette opération, Juliette était assis sur son lit à coté de sa fille. Elle avais fini de mangé, la jeune maman était au téléphone avec son mari.

« Alors tu vient demain? »
« Oui demain à la premier heure, avant qu’ils la prennent pour l’amener au bloc. »
« D’accord.. »
« Aller courage chérie. Tout va bien se passé. »
« Oui.. Aller je te laisse mon amour. Bonne nuit, à demain. »
« A demain, je t’aime. »
« Moi aussi. »

Après ce coup de fil. Juliette se mis en pyjama, elle se brossa les dents. Avant d’aller dire bonne nuit à sa fille. La jeune femme fit un gros câlin à Anastasia. Avant de remonter les barrot du lit de la petit fille. Juliette aller se coucher dans le sien. Beaucoup de question hanté, l’esprit de la jeune maman. Au petit matin à 6heure, Arthur était déjà à l’hôpital il entra dans la chambre de son épouses cette dernière était au lit elle dormait encore. Il s’approcha d’elle lentement, avant d’aller lui caresser les cheveux et de l’embrasser tendrement sur les lèvres. Ce doux baiser réveilla la jeune maman qui fit un sourire à son mari. Arthur partie ensuite voir sa fille, il lui pris délicatement la main pour lui caresser. Juliette se leva de son lit pour aller s’habiller, puis elle dit à son mari:

« Je vais fumer tu reste avec qu’elle? »
« Oui, oui tu peut y aller, je reste au prés d’elle. »

La jeune maman partie alors, à extérieur pour aller fumer une cigarette. Pendant que le mari était rester en haut avec sa fille, après quelques minutes Juliette remonta dans la chambre pour être au prés de son mari et de sa fille. Peu de temps après, deux infirmières entra dans la chambre pour donner une prémédication à Anastasia. C’est un médicament en forme de sucre pour préparais l’enfant à dormir avant d’aller au bloc. À partir de ce moment là, le jeune couple du attendre une demis heures avant qu’ont viennes chercher leur fille pour l’amener au bloc. Les parents suivies les infirmières amener Anya sur un brancard, ils dû s’arrêter devant deux grande imposante porte. Ils n’avait pas droit d’aller plus loin, à cosses des microbes et autres bactérie. Ils embrassa tendrement leur petite fille, avant de regarder larmes aux yeux leur fille s’éloigner lentement en direction du bloc. En attendant que l’opération soit fini, le couple partie à l’extérieur tuer le temps, en fumant des cigarettes, boires des cafés, et marcher au alentour de l’hôpital. Les minutes semblais des heures et les heures semblais être une éternité pour le jeune couple. Qui s’inquiéter pour leur fille, ils avait confiance à l’hôpital. Mais leur tarder qu’une chose que vite l’opération se termine pour savoir enfin si c’est bien passer. Alors, que le jeune couple espérais du fond de leur être que tout ce passe bien pour leur fille. Les parents du attendre quatres heures avant que le chirurgien qui as opérais Anastasia vienne les voir pour enfin leur dire:

« Tout c’est bien passé, votre fille est en réanimation. »
« Ah nous somme vraiment soulager! Et très content de cela. » Dit Arthur le sourire aux lèvres.

Alors, que Juliette était vraiment trop émus pour parler, elle sentie en elle un grand soulagement. Elle était heureuse que tout s’était bien passé pour sa fille. Ensuite le chirurgien leur expliqua ce qu’ils avaient vraiment fait à leur fille. Ils ont ouvert la cloison entre les deux oreillettes du cœur, pour soulager le ventricule unique. En précision bien que c’était une opération à cœur ouvert. Et que maintenant sa aller dans l’espoir, que leur fille va de mieux en mieux. Cependant, les parents ne pouvaient pas voir leur fille pas avant 48heures. Malgré ça les parents sont venu à l’hôpital de l’espoir, même si ils ne pouvaient pas voir leur fille. Il resta dans le bâtiment de l’hôpital pour être le plus proche de leur fille. Après ces quarante-huit heures, les jeune parents pu voir leur fille à la réanimation. Cependant ont leur dirent qu’ils devaient porté une blouse bleu, avec des chaussons sur les chaussures, ainsi qu’un petit bonnet sur la tête. Il du également se lavait les mains, avec qu’un produis que les hôpitaux ont. Ils pu par la suite entrais dans la réanimation, il avait des lit qui former des grandes lignes avec plusieurs patient opérais. Les jeunes parents chercha ensuite leur fille des yeux, Arthur s’arrêta devant un homme ne trouvant pas sa fille. Voyant que le jeune père était en difficulté une infirmière s’approcha de lui pour lui dire:

« Mr. Votre fille n’est pas là elle juste à coté sur votre droite.. »

Dit-elle en montrant une petite fille allonger sur un lit. Elle avait des drains dans le ventre. C’est des gros tuyaux qui nettoies l’estomac pour enlevais toute les microbes ainsi que le sang mauvais. Sur le thorax des pastilles qui envoie le rythme cardiaque dans une machine. Ainsi qu’un grand pansement verticale pour couvrir la grande cicatrice. qu’une voie centrale, c’est une sorte de perfusion avec un tuyaux aussi gros que le petit doigts, sur le corps. Anya l’avais au début du cou, qui était relier à trois grosse seringues. Chacune d’entre elle, était sur une petite machine verte qui le pousser la seringues, ces dernières était sur préposer l’une au dessus de l’autre. Ainsi qu’une perfusion sur le bras, qui la nourrissais. Quand le jeune père vu son enfant brancher de partout, il devena blanc comme un linge. Il se sentie très mal, il avait impression que son estomac faisait des tours sur lui mêmes. Il crue pendant quelques secondes que l’infirmières savait tromper.

Que sa fille n’était pas brancher de partout et qu’elle n’était pas présente dans la réanimation. Juliette avait la bouche entre-ouverte elle aussi elle avait eu un choc de voir cette fille ainsi. Les parents n’imaginer de voir leur fille dans cette état. Ils ne réaliser pas l’importance que sa pu prendre. Après quelques minutes, Juliette s’approcha très lentement de sa fille. Alors que le mari était rester à l’arrière ne réalisant toujours pas que s’était sa fille. Juliette alla embrasser sa fille chéri très délicatement sur la joue, avant de lui caresser lentement la main. Après, quelques minutes Arthur fini par réaliser que la petite fille qui était devant lui était belle et bien sa fille. Cependant, il ne s’approcha pas encore de sa fille, il était comme figer devant ce lit, sans prononçais un mot. C’était tout de même, un très choc pour les deux parents. Après quelques longues minutes, Arthur commença à faire des tout petits pas pour s’approcher de sa femme ainsi de son enfant, sans trop oser regarder Anastasia. Quand l'heures fut arriver de partir, les parents commença très lentement à s’éloigner. Cependant ils n’arrêtèrent de se retourner pour regarder leur fille. Ils ne leur tarder qu’une choses, que vite la nuit passer pour que le lendemain ils revienne au chevet de leur fille. La réanimation n’accepter les visites qu’a certaine heures dans l’après midi. Chaque jours Arthur et Juliette alla voir leur fille, ils vurent une amélioration de jour en jour. Et après huit jours de réanimations, Anya sortir pour aller soin attensif.
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Une petite fille qui as décidé de survivre
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